Nos engagements
- Aider les petits producteurs en achetant leurs produits au prix juste
- Se recentrer sur les valeurs humaines et travailler en partenariat
- Faire payer le prix juste à nos clients pour que tout le monde s’y retrouve et puisse être acteur en se faisant plaisir
- Privilégier des produits respectueux de l’environnement donc bio ou issus de l’agriculture raisonnée
- Etre éco-responsable, en agissant à notre échelle sur notre bilan carbone et contre le gaspillage (d’ou le local et le bocal).
Nous avons donc un rôle clé à jouer pour promouvoir une alimentation plus responsable et raisonnée, éviter la surproduction et le gaspillage alimentaire.
Les circuits courts
Quelques bonnes raisons de privilégier les circuits courts entre producteurs et consommateurs
- C’est l’occasion de se promener et mieux connaitre son terroir.
- Il est conseillé de manger 5 fruits et légumes par jour, alors autant qu’ils viennent de la région et qu’ils soient sains !
- Vous aidez l’économie locale et la justice sociale en achetant des produits venant de producteurs et artisans locaux.
- Vous crérez surement nos emplois de demain et des futures générations.
Brève définition
Le circuit court permet de raccourcir le chemin des produits entre le champ et l’assiette. Bien que le circuit court n’implique pas par définition production locale, la réduction des intermédiaires fait qu’ils vont souvent de pair. Achetez directement vos produits aux producteurs locaux ou via un intermédiaire unique. Tout le monde y trouve son compte : rémunérations plus justes, produits plus frais, traçabilité et…nouvelles connaissances.
La quasi totalité de nos produits proviennent de circuits-courts
Quelques chiffres qui parlent d’eux même
- L’alimentation des Français produit 31% du total d’émissions de gaz à effet de serre en France. Il est essentiel de prendre cet aspect en compte lorsque l’on fait de l’alimentation son métier : consommer « local » permet d’atténuer cet impact.
- L’alimentation est un sujet éthique et social. Qui produit ? Comment ? Qui crée de la valeur ajoutée aux produits? Le producteur est l’acteur principal de la chaîne donc le garant de notre alimentation et forcement de notre santé. En effet L’OMS estime que l’alimentation est responsable de 30% des cancers en Occident. L’agriculture bio n’utilise pas de pesticides et est donc beaucoup plus respectueuse pour notre santé.
- En France, chaque semaine, 200 exploitations professionnelles disparaissent, faute de repreneur. Le circuit court est une solution pour endiguer ce phénomène.
Le saviez-vous
- L’alimentation des Français produit 31% du total d’émissions de gaz à effet de serre en France. Il est essentiel de prendre cet aspect en compte lorsque l’on fait de l’alimentation son métier : consommer « local » permet d’atténuer cet impact.
- L’alimentation est un sujet éthique et social. Qui produit ? Comment ? Qui crée de la valeur ajoutée aux produits? Le producteur est l’acteur principal de la chaîne donc le garant de notre alimentation et forcement de notre santé. En effet L’OMS estime que l’alimentation est responsable de 30% des cancers en Occident. L’agriculture bio n’utilise pas de pesticides et est donc beaucoup plus respectueuse pour notre santé.
- En France, chaque semaine, 200 exploitations professionnelles disparaissent, faute de repreneur. Le circuit court est une solution pour endiguer ce phénomène.
Le saviez-vous ?
- L’alimentation des Français produit 31% du total d’émissions de gaz à effet de serre en France. Il est essentiel de prendre cet aspect en compte lorsque l’on fait de l’alimentation son métier : consommer « local » permet d’atténuer cet impact.
- L’alimentation est un sujet éthique et social. Qui produit ? Comment ? Qui crée de la valeur ajoutée aux produits? Le producteur est l’acteur principal de la chaîne donc le garant de notre alimentation et forcement de notre santé. En effet L’OMS estime que l’alimentation est responsable de 30% des cancers en Occident. L’agriculture bio n’utilise pas de pesticides et est donc beaucoup plus respectueuse pour notre santé.
- En France, chaque semaine, 200 exploitations professionnelles disparaissent, faute de repreneur. Le circuit court est une solution pour endiguer ce phénomène.
Quelques chiffres clés qui parlent d’eux même
- Depuis le début des années 1950, le nombre d’exploitations agricoles a été divisé par cinq alors qu’il restait encore plus de deux millions de fermes en 1955.
- Un aliment parcourt en moyenne 1500 km avant de finir dans notre assiette.
- Du côté de la consommation, seulement 6 à 7 % des achats alimentaires en France se font par des circuits courts (CESER des Pays de la Loire)
Pourquoi le choix des vins en bio, biodynamie ou nature/vivant ?
Incontestablement par amour et passion du vin.
Ce sont ces vins que nous avons décidé d’avoir à notre carte car ils sont le fruit du travail de vignerons et vigneronnes qui nous sort du goût unique à la Parker et de cette tendance au formatage qui incite à produire des vins standardisés, formatés et bridés.
Ces hommes et ces femmes prennent plus de risques, fournissent un gros travail en intelligence avec la nature pour offrir une émotion inédite, des vins plus sains, très digestes et qui ne donnent pas mal à la tête. Donc pourquoi mettre à notre carte des vins conventionnels, alors qu’il y a ces vins de très bonne qualité en bio, biodynamie et nature. Ces vins sont souvent déroutants comme c’est le cas par exemple de certains vins natures où il n’y a que du fruit et rien d’autre !
Une bonne partie de ces vins ont besoin d’être expliqués et accompagnés pour donner tout leur potentiel, c’est ce que nous vous proposons et vous pourrez ainsi vous rendre compte que quand ils sont bien faits c’est le summum, à l’égal du plaisir que donnent certains grands Bourgogne ou Bordeaux.
On nous a souvent dit: « Quand on mets le nez dans ces vins on ne peut plus revenir à autre chose » pour notre part dicton validé.
Ce sont des vins qui laissent parler le terroir. Le terroir compte beaucoup de paramètres : les types de sols, de sous-sols (géologie, pédologie, hydrologie), l’espace géographique (topologie) et climatique (macroclimat, microclimat, effet millésime), les cépages et porte-greffes (botanique). Tout ces éléments caractérisent au final la qualité de la vendange et le vigneron doit tenir compte de tous ces éléments naturels pour conduire sa vigne et exprimer au mieux son terroir. Ces facteurs naturels et humains sont appelés les facteurs terroirs. Ils sont d’autant plus amplifiés et importants dans la biodynamie voir encore plus dans les vins vivants car c’est ce que les vignerons et vigneronnes qui pratiquent ces méthodes cherchent à révéler, à laisser s’exprimer. En limitant la standardisation et les entrants, ils laissent un maximum la nature parler et le vin vivre pour révéler tout le potentiel de leur terroirs.
Un peu d’histoire sur la biodynamie
Origine et développement de la biodynamie.
La viticulture biodynamique est l’application à la vigne et à la vinification de la méthode agricole mise au point par Rudolf Steiner (philosophe autrichien, disciple de Goethe) en 1924.
La biodynamie est avant tout une approche globale de l’agriculture qui voit les exploitations ou vignobles comme des organismes vivants où l’homme doit prendre en compte l’ensemble de l’environnement. Nous allons parler plus spécifiquement du viticulteur mais cela vaut également pour toute la biodynamie.
Le viticulteur doit maintenir un équilibre des sols peuplés de micro-organismes, racines et animaux, doit également vivifier cet ensemble avec des produits et plantes médicinales (tisane et décoction à base de prêle, ortie, camomille, consoude etc…) puis enfin respecter les rythmes naturels de la planète et de la vie qu’elle héberge (cycles de lune, soleil, planètes, repos des sols, saisonnalité…). Tout cela afin d’augmenter le bien-être et le travail de la vigne pour que le vigneron puisse obtenir des raisins et donc des vins qui expriment tout le potentiel de son terroir.
Dans les années 20, en Allemagne, un certain nombre d’agriculteurs étaient préoccupés par l’état de dégénérescence dans lequel se trouvaient certaines productions agricoles, notamment les pommes de terre, les céréales, les fruits et les légumes. Ils demandèrent conseil à Steiner, qui conçut les bases de la méthode bio-dynamique (biologique et dynamique). Il rassembla ses conseils dans huit conférences qui furent prononcées en juin 1924 à Koberwitz (Silésie, aujourd’hui en Pologne). Éditée l’année suivante, intitulée fertilisation biologique, cette méthode prit le nom d’agriculture bio-dynamique en 1930.
Quant à la notion d’agriculture biologique, on la doit au docteur Delbet, chirurgien, qui découvrit la vertu anti-infectieuse du magnésium. Il déclara en 1934 devant l’Académie de médecine de Paris : « Aucune activité humaine, pas même la médecine, n’a autant d’importance pour la santé de l’homme que l’agriculture » phrase on ne peut plus d’actualité aujourd’hui…
A cette époque, les débuts de l’agriculture industrielle étaient déjà critiqués, en particulier l’utilisation de plus en plus généralisée d’engrais chimiques et de produits phytosanitaires qui contribuaient à détruire la vie des sols, sans compter la toxicité de ces produits sur la faune et la flore environnante: élimination d’insectes utiles, des oiseaux, des petits mammifères, contamination des nappes phréatiques, etc.
C’est donc dans ce contexte que certains exploitants agricoles se mirent à chercher d’autres modes culturaux, destinés à préserver la vie organique et à améliorer la qualité de leurs cultures.
En France :
La première ferme de France convertie en biodynamie voit le jour en Alsace en 1925. C’est aussi en Alsace que se trouve aujourd’hui la Maison de la Culture Biodynamique, créée en 2002 à Colmar. Cette terre pionnière abrite également l’Association française de culture biodynamique, fondée à Strasbourg en 1958, qui regroupait alors une centaine d’adhérents (principalement des jardiniers).
Il faudra attendre les années 70, avec l’émergence des thèmes écologiques et des mouvements écologistes, pour que la biodynamie, à la suite de l’agriculture biologique, commence à prendre son essor en France. L’agriculture biologique est présente pour la première fois au Salon de l’Agriculture à Paris en 1970. En 1973 le Syndicat d’agriculture biodynamique est créé et en 1975 apparaît le Mouvement de culture biodynamique. Ces deux associations, ainsi que la coopérative Demeter (fondée en Allemagne en 1927), sont abritées par la Maison de la Culture Biodynamique de Colmar.
Les vins natures/vivants
Le vin « nature et vivant » est un vin cultivé selon les termes de l’agriculture biologique et biodynamique, le vigneron élève patiemment ces raisins et ces vins qui font leurs fermentations tranquillement, en passant par différentes phases délicates successives jusqu’à s’élever et se structurer. Ils sont accompagnés par le vigneron, avec patience, amour, sans être brusqués, avec une vigilance et une écoute de chaque instant pour réussir à l’élever du rang de jus de raisin à celui de vin. Un vin naturel est un vin libre car on ne trouve pas ou presque pas d’intrants ou de sortants. C’est un produit qui vit comme un fromage au lait cru ou un pain au levain naturel ! On ne le bride pas comme c’est le cas des vins conventionnels mais au contraire on lui laisse la possibilité de s’exprimer, d’être libre et il peut révéler le meilleur ou le pire de lui-même. C’est donc là que le vigneron a toute son importance car grâce à sa patience, ses prises de risques, sa maturité, sa connaissance du vin et de ses cycles, l’artisan-vigneron va réussir à élaborer un vin libre, bon et équilibré.
Il est, vous l’aurez compris très difficile de faire des vins dits nature et encore plus vivants (sans sulfites ajoutés) car cela demande un travail titanesque dans la vigne. Sans parler des rendements minimes, un retour aux sources de l’agriculture impliquant un travail physique, éprouvant mais qui va être nécessaire, précis et bénéfique à la plante. Que dire également de ce qui se passe en cave, où le vigneron est là, à couver ses vins, à les voir évoluer avec vigilance, avec toujours la crainte qu’une barrique évolue mal et soit perdue. On trouve de plus en plus de jeunes vignerons qui s’installent avec cette philosophie et le vin nature n’est plus seulement une mode, à Paris dans les endroits branchés, à Tokyo, New York ou Londres.
Ce sont donc ces vins que nous vous proposons et que nous mettons à l’honneur à notre carte et nous sommes convaincus qu’ils sont en train de prendre toute leur place dans le paysage du vin en France et dans le monde du vin en général.
Vous avez plus de pouvoir que vous ne le pensez !
Le contexte, les enjeux
- Dans le monde agricole, il existe de grandes tendances qui ne favorisent pas la production agricole de proximité :
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- En matière d’approvisionnement, les grandes et moyenne surfaces ont une place prépondérante : elles représentent 61,8% de la distribution (Etude du CREDOC, 2009).
- Les fournisseurs de la restauration hors foyer – IAA, grossistes, Cash & Carry et prestataires logistique : Métro, Promocash, Pomona, Transgourmet, Brake, maraîcher, etc… représentent en 2014 plus de 63 milliards d’euros dont 67% pour la restauration commerciale (étude PRECEPTA). En 2012 75% de la livraison des produits alimentaires et des boissons aux établissements de la restauration hors foyer provenaient de ces réseaux.
- La rémunération des producteurs est moins élevée si leur production entre dans ces circuits, à cause de la pression concurrentielle et de la rémunération de chaque intermédiaire au détriment du producteur lui même.
L’installation de circuits courts constitue une alternative crédible et efficace, en remettant au cœur du processus une rémunération plus juste pour les producteurs.
- Sur un plan alimentaire, bien souvent les consommateurs ont perdu le rapport avec l’origine du produit, sa culture, son histoire.
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- 71% de l’arrivage en fruits transitent par Rungis, multipliant les transports inutiles, et 41% des légumes proviennent de l’export. (CREDOC 2009). Il faut penser à l’impact environnemental de tels processus.
- Seul 1 producteur sur 5 vend en circuit court (21 % des exploitants)
- Mais, bon point pour nous ! La région Rhône-Alpes figure « en tête des régions pratiquant les circuits courts » : 1 exploitation sur 3 vend au moins un produit en direct ou via un seul intermédiaire. (source AGRESTE 2012). Et si ont passait à 1 exploitation sur 2 ?
- La moitié des exploitations rhônalpines pratiquant les circuits courts en tirent au moins 75% de leurs revenus (source AGRESTE 2012).